Share |

06 julio, 2010

12 comentarios:

  1. Este comentario ha sido eliminado por el autor.

    ResponderEliminar
  2. Cher toi,

    Tu m’as dit que tu trouves qu’il est difficile de se sentir aimé. L’amour est un exercice délicat et enrichissant, et il n’y a pas de formule exacte qui définit ce que signifie l’amour. Toi qui es aimant et docile, tu as du mal cependant à aimer et être aimé.
    La beauté de l’amour est un mystère. Quand il arrive enfin ce qui vient à la lumière est une grande facilité à donner, et quand on sait comment donner de nous-mêmes, l’échange d’amour est sain et sublime. La divulgation de l’amour exige l’art et l’habileté, de sensibilité et d’attention.
    L’amour doit être semé dans un domaine de confiance. C’est seulement de cette manière qu’il naît, grandit et finit par porter ses fruits. Alors tu devrais suivre la direction que ton cœur te donne, de la personne que tu aimes le plus et à qui tu consacres toute l’attention, la personne à qui tu portes ton inquiétude et ton affection.

    ResponderEliminar
  3. Tu dois te débarrasser de tes peurs qui découlent de mauvaises expériences qui ont disparues depuis longtemps… Après tout, tôt ou tard, elles arrivent à tout le monde… Permets nous de construire ensemble quelque chose de ferme et beau pour colorer nos vies et nos jours qui sont encore à venir. Oublies les craintes et les prévisions pessimistes, permets de se rendre à l’amour.

    Un baiser de celle qui t’aime.

    ResponderEliminar
  4. America: Mid-Century
    Main articles: Modernism, Late Modernism, American Modernism, and Surrealism
    During the Nazi rise to power in the 1930s many artists fled Europe to the United States. By the early 1940s the main movements in modern art, expressionism, cubism, abstraction, surrealism, and dada were represented in New York: Marcel Duchamp, Fernand Léger, Piet Mondrian, Jacques Lipchitz, Max Ernst, André Breton, were just a few of the exiled Europeans who arrived in New York.[16]. The rich cultural influences brought by the European artists were distilled and built upon by local New York painters. The climate of freedom in New York allowed all of these influences to flourish. The art galleries that primarily had focused on European art began to notice the local art community and the work of younger American artists who had begun to mature. Certain of these artists became distinctly abstract in their mature work.
    Eventually American artists who were working in a great diversity of styles began to coalesce into cohesive stylistic groups. The best known group of American artists became known as the Abstract expressionists and the New York School. In New York City there was an atmosphere which encouraged discussion and there was new opportunity for learning and growing. Artists and teachers John D. Graham and Hans Hofmann became important bridge figures between the newly arrived European Modernists and the younger American artists coming of age. Mark Rothko, born in Russia, began with strongly surrealist imagery which later dissolved into his powerful color compositions of the early 1950s. The expressionistic gesture and the act of painting itself, became of primary importance to Jackson Pollock and Franz Kline. While during the 1940s Arshile Gorky's and Willem de Kooning's figurative work evolved into abstraction by the end of the decade. New York City became the center, and artists worldwide gravitated towards it; from other places in America as well[

    ResponderEliminar
  5. Kafka ne se contenta pas, toute sa vie durant, de jouer au chat et à la souris avec les femmes. Par ses lettres, ses oeuvres, ses doutes et ses angoisses, il mit aussi au point des stratégies diaboliques, centrales dans sa vie et sa littérature, qui consistaient à tenter d'imposer son emprise sur les femmes pour s'emparer du pouvoir qu'il leur prêtait, tout en les rejetant, avec autant de violence possible car il se sentait incapable de les rendre heureuses et surtout leur demandait l'impossible. Chaque fuite fut comme une manière de conjurer la peur panique qu'il avait à les approcher. Pourtant, Kafka était un homme au charme certain, je trouve, si l'on s'en réfère aux photos que l'on en a. Il avait ce type de beauté, propre et particulièrement exceptionnelle, à mon sens, accentuée par la noirceur de ses traits saillants, la froideur de son physique chétif et de sa maigreur, la profondeur de son regard pénétrant, brillant et lucide. Plusieurs femmes ponctuèrent et illuminèrent sa vie, presque toutes juives d'origine ou par adoption, ce qui lui fit dire que le Judaïsme avait sûrement compromis pour lui toute possibilité de vie conjugale, devenue inconciliable avec sa dévorante passion pour l'Ecriture.

    Ces femmes, ce furent Felice, admirable, des inconnues de passage, Julie Wohryzek, fille d'un modeste cordonnier qu'il entreprend d'épouser et qui occasionne la violente brouille avec son père (la même qui lui inspira "Lettre au Père"), Milena, la complice intellectuelle et inaccessible, Dora Diamant, la fidèle compagne des derniers instants, mais aussi et surtout Ottla. Vous pourrez découvrir Kafka et son amour pour les femmes dans son abondante correspondance à Milena évidemment, mais aussi à Felicia, à Ottla, la soeur chérie et l'ange gardien... Dans "Kafka et les jeunes filles" de Daniel Desmarquet, vous découvrirez aussi en quoi ses relations amoureuses ou épistolaires ont contribué à la ferveur de son oeuvre... La solitude, la frustration, l'angoisse, la culpabilité sont présentes dans l'ensemble de son œuvre. Comme Kierkegaard, qu'il a beaucoup lu, Kafka fait de l'angoisse l'expérience fondamentale de l'homme. "L'amour, c'est que tu sois pour moi le couteau avec lequel je fouille en moi." [Lettres à Milena].

    Voilà sans conteste le plus bel et douloureux aveu de cette correspondance, phrase qui marque aussi le début de la fin, le renoncement, l'impossible engagement devenu impossible Ecriture. K. après ce mensonge vrai sur son amour lui explique qu'il ne pourra désormais lui envoyer que des lettres vierges de manière à ce qu'elle continue d'attendre quelque chose de lui à la poste. Elle répond "Je sais que tu me..." "La bête arrache le fouet au maître et se fouette elle-même pour devenir maître, et ne sait pas que ce n'est pas là qu'un fantasme produit par un nouveau noeud dans la lanière du maître." "Théoriquement, il existe une possibilité de bonheur parfait : croire à ce qu'il y a d'indestructible en soi et ne pas s'efforcer de l'atteindre." [Préparatif de noce à la campagne] "Les questions qui ne se donnent pas de réponse elles-mêmes en naissant n'obtiennent jamais de réponse."

    ResponderEliminar
  6. Capitán Zanahoria7 de julio de 2010, 8:57

    9 décembre 1909
    44 Fontenoy Street, Dublin.

    Mon doux vilain petit oiseau fouteur,
    Voici un autre billet pour acheter de jolies culottes ou des bas ou des jarretières. Achète des culottes de putain, mon amour, et ne manque pas d'en asperger les jambes avec quelque parfum délicat et aussi de les décolorer juste un petit peu derrière.
    Tu sembles anxieuse de savoir comment j'ai accueilli ta lettre que tu dis pire que la mienne. Comment ça pire que la mienne, mon amour ? Oui, elle est pire en un endroit ou deux. Je pense à l'endroit où tu dis ce que tu feras avec ta langue (je ne pense pas au fait que tu suceras) et à ce mot charmant que tu écrit si gros et que tu soulignes, petite salope. C'est excitant d'entendre ce mot (et un ou deux autres que tu n'as pas écrits) sur les lèvres d'une fille. Mais je souhaite que tu parles de toi et non de moi. Ecris-moi une longue longue lettre, pleine de ça et d'autres choses, sur toi, ma chérie. Tu sais maintenant comment me faire bander. Dis-moi les plus petites choses sur toi pour autant qu'elles sont obscènes et secrètes et dégoûtantes. N'écris rien d'autre. Que chaque phrase soit pleine de sons et de mots sales. Ils sont tous également charmants à entendre et à voir sur le papier mais les plus sales sont les plus beaux.
    Les deux parties de ton corps qui font des choses sales sont pour moi les plus charmantes. Je préfère ton cul, chérie, à tes nichons parce qu'il fait une chose tellement sale. J'aime ton con non tant parce que c'est la partie que je baise que parce qu'il fait une autre chose sale. Je pourrais rester couché en me paluchant toute la journée rien qu'à regarder le mot divin que tu as écrit et la chose que tu as dit que tu me ferais avec ta langue. Je voudrais pouvoir entendre tes lèvres bredouiller ces mots orduriers divinement excitants, voir ta bouche faire des sons et des bruits sales, sentir ton corps se tordre sous moi, entendre et sentir les gras sales pets fillette qui jaillissent pop pop de ton joli nu popotin fillette et foutre foutre foutre foutre à jamais le con de mon vilain brûlant petit oiseau fouteur.
    Je suis heureux maintenant, parce que ma petite putain me dit qu'elle veut que je ramone son cul et qu'elle veut que je foute sa bouche et qu'elle veut me déboutonner et me sortir mon mickey et le sucer comme un téton. Plus et plus sale que ce qu'elle veut me faire, ma petite fouteuse nue, ma vilaine branleuse qui se tortille, ma douce petite péteuse.
    Bonne nuit, ma petite connie je vais me coucher et me branler jusqu'à ce que je décharge. Ecris plus et plus sale, chérie. Chatouille-toi ton petit machin pendant que tu écris pour que tu dises pire et pire encore. Ecris les mots sales en gros et souligne-les et baise-les et tiens-les un moment contre ton doux con brûlant, chérie, et remonte aussi ta robe un moment et tiens-les sous ton cher petit popotin péteur. Fais plus si tu veux et envoie-moi alors la lettre, mon oiseau fouteur chéri au cul brun.

    Jim.

    (publiées dans Tel Quel n. 83)

    Version originale ici : http://www.arlindo-correia.com/joyce.html.

    Posté par fantomas_media à 06:16 - Poesie - Commentaires [5] - Rétroliens [0] -

    ResponderEliminar
  7. Capitán Zanahoria7 de julio de 2010, 9:16

    9 décembre 1909
    44 Fontenoy Street, Dublin.

    Mon doux vilain petit oiseau fouteur,
    Voici un autre billet pour acheter de jolies culottes ou des bas ou des jarretières. Achète des culottes de putain, mon amour, et ne manque pas d'en asperger les jambes avec quelque parfum délicat et aussi de les décolorer juste un petit peu derrière.
    Tu sembles anxieuse de savoir comment j'ai accueilli ta lettre que tu dis pire que la mienne. Comment ça pire que la mienne, mon amour ? Oui, elle est pire en un endroit ou deux. Je pense à l'endroit où tu dis ce que tu feras avec ta langue (je ne pense pas au fait que tu suceras) et à ce mot charmant que tu écrit si gros et que tu soulignes, petite salope. C'est excitant d'entendre ce mot (et un ou deux autres que tu n'as pas écrits) sur les lèvres d'une fille. Mais je souhaite que tu parles de toi et non de moi. Ecris-moi une longue longue lettre, pleine de ça et d'autres choses, sur toi, ma chérie. Tu sais maintenant comment me faire bander. Dis-moi les plus petites choses sur toi pour autant qu'elles sont obscènes et secrètes et dégoûtantes. N'écris rien d'autre. Que chaque phrase soit pleine de sons et de mots sales. Ils sont tous également charmants à entendre et à voir sur le papier mais les plus sales sont les plus beaux.
    Les deux parties de ton corps qui font des choses sales sont pour moi les plus charmantes. Je préfère ton cul, chérie, à tes nichons parce qu'il fait une chose tellement sale. J'aime ton con non tant parce que c'est la partie que je baise que parce qu'il fait une autre chose sale. Je pourrais rester couché en me paluchant toute la journée rien qu'à regarder le mot divin que tu as écrit et la chose que tu as dit que tu me ferais avec ta langue. Je voudrais pouvoir entendre tes lèvres bredouiller ces mots orduriers divinement excitants, voir ta bouche faire des sons et des bruits sales, sentir ton corps se tordre sous moi, entendre et sentir les gras sales pets fillette qui jaillissent pop pop de ton joli nu popotin fillette et foutre foutre foutre foutre à jamais le con de mon vilain brûlant petit oiseau fouteur.
    Je suis heureux maintenant, parce que ma petite putain me dit qu'elle veut que je ramone son cul et qu'elle veut que je foute sa bouche et qu'elle veut me déboutonner et me sortir mon mickey et le sucer comme un téton. Plus et plus sale que ce qu'elle veut me faire, ma petite fouteuse nue, ma vilaine branleuse qui se tortille, ma douce petite péteuse.
    Bonne nuit, ma petite connie je vais me coucher et me branler jusqu'à ce que je décharge. Ecris plus et plus sale, chérie. Chatouille-toi ton petit machin pendant que tu écris pour que tu dises pire et pire encore. Ecris les mots sales en gros et souligne-les et baise-les et tiens-les un moment contre ton doux con brûlant, chérie, et remonte aussi ta robe un moment et tiens-les sous ton cher petit popotin péteur. Fais plus si tu veux et envoie-moi alors la lettre, mon oiseau fouteur chéri au cul brun.

    Jim.

    (publiées dans Tel Quel n. 83)

    Version originale ici : http://www.arlindo-correia.com/joyce.html.

    Posté par fantomas_media à 06:16 - Poesie - Commentaires [5] - Rétroliens [0] -

    ResponderEliminar
  8. "Al fin y al cabo, si alguna explicación hay del misterio es ésta: el amor entre mujeres es un refugio y un escape hacia la armonía. En el amor entre hombre y mujer hay resistencia y conflicto. Dos mujeres no se juzgan mutuamente, no se embrutecen mutuamente, no buscan nada que ridiculizar. Se rinden al sentimentalismo, a la comprensión mutua, al romanticismo. Ese amor es la muerte, lo admito."
    Eroticalesbi

    ResponderEliminar
  9. "Cuando miro tu rostro quisiera dejarme llevar y compartir tu locura, que llevo dentro de mí como un secreto y no puedo seguir disimulando. Siento una aguda y pavoroza alegría. Es la alegría que se siente cuando se ha aceptado la muerte y la desintegración, una alegría más terrible y más profunda que la alegría de vivir, de crear... "

    Eroticalesbi

    ResponderEliminar
  10. Que define tus contornos...


    Que deja mi mano moverse a placer...


    Que confunde tus fluídos y los míos...


    Que facilita que tus piernas se enreden en mí...


    Agua...




    Que no me canso de lamer de ti...


    Eroticalesbi

    ResponderEliminar
  11. No entiendo el francés, así que me pierdo la mitad de la historia de L, de M y del capitán zanahoria... Lástima...

    ResponderEliminar
  12. Capitán Zanahoria9 de julio de 2010, 8:40

    La Historia de L, de M de C y del Capitán Zanahoria están solo en español, por lo tanto no hay lamento que valga. las cartas de amor en francés son las que envió James Joyce a si querida y caliente Nora, sirven de contrapunto para mi mediocre escritura, es todo.
    cordialmente,
    CZ

    ResponderEliminar

Compatir