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01 octubre, 2010

13 comentarios:

  1. Nº 52

    El doctor Blume me saludo amablemente, me hizo tomar asiento. Tenía una carpeta en sus manos y la revisaba de un modo distraído, luego la dejo a un costado de su escritorio y me dijo: Mira A, lo importante aquí es que sepas dos cosas claves, la primera, es entender que vas a entrar en un proceso de cambio y este será relativamente rápido, aunque no lo sabemos con toda certeza, esto debes saberlo, me entiendes? y lo segundo, se refiere a la importancia que tu juegas en este proceso y entonces se trata de como vas a enfrentarlo, es decir, la importancia radica en ti, en entender y saber aceptarlo.

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  2. Le portrait en malade : Histoire de sa face
    cachée

    CHANTOURY-LACOMBE Florence ;


    Cette étude consacrée à l'interprétation du portrait en malade tente de démontrer comment, à travers la littérature artistique de la Renaissance et dans le discours des historiens de l'art contemporains, le portrait représentant un personnage malade a fait l'objet d'une « euphémisation» dans laquelle une bonne santé de la peinture était privilégiée au détriment d'une interprétation plus probante du portrait pathologique. Par l'analyse de différents portraits de gens variolés, syphilitiques ou atteints d'autres pathologies à la Renaissance, il s'agit d'observer que la représentation du visage pathologique met à mal le statut même du portrait.

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  3. Capitán Zanahoria1 de octubre de 2010, 9:20

    Maux d’artistes, tous malades?

    Par Elisabeth Gordon -

    Art et science. «Maux d’artistes», que publie un neuropsychologue de l’EPFL, nous propose une plongée dans le cerveau perturbé de grands créateurs. Fascinant.
    Proust était neurasthénique et se bourrait de psychotropes, De Chirico souffrait de sévères migraines et Ravel d’une maladie neurologique qui avait rompu les connexions entre les zones cérébrales de l’imagination et celles de l’écriture. Quant à Werner Herzog et son acteur fétiche Klaus Kinski, ils étaient mégalomanes. Sans vouloir réduire ou expliquer l’art ou le «génie» par la maladie, force est de reconnaître que les troubles neurologiques ou psychiatriques dont ces artistes étaient atteints ont grandement influencé leurs romans, leurs tableaux ou leurs films. Si Dostoïevski n’avait pas lui-même subi le «grand mal», il n’aurait pas pu créer le personnage central de L’idiot, le prince Mychkine, «l’épileptique le plus célèbre de la littérature», comme le souligne Sebastian Dieguez dans Maux d’artistes. Ce que cachent les œuvres Belin). Un livre qui rassemble les chroniques que l’auteur a publiées dans la revue Cerveau & Psycho.

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  4. Décès de l'artiste peintre A

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  5. La disparition?

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  6. Capitán Zanahoria1 de octubre de 2010, 11:22

    "Je suis malade
    c'est ça je suis malade
    Tu m'as privée de tous mes chants
    Tu m'as vidée de tous mes mots
    Et j'ai le coeur complètement malade
    Cerné de barricades
    T'entends... Je suis malade..."

    LB

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  7. Paroles Grand Corps Malade


    Les Voyages En Train
    J'crois que les histoires d'amour C'est comme les voyages en train
    Et quand j'vois tous ces voyageurs Parfois j'aimerais en être un
    Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?

    Les trains démarrent souvent au moment où on s'y attend le moins
    Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins
    Les témoins c'est tes potes qui te disent au-revoir sur le quai
    Et regardent le train s'éloigner avec un sourir inquiet

    Toi aussi tu leur fait signe et t'imagines leurs commentaires
    Certains pensent que tu te plantes et qu't'as pas les pieds sur terre
    Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage
    Pour la plupart le train va dérailler dès le premier orage

    Le grand amour change forcément ton comportement
    Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment
    Siège couloir ou contre la vitre y faut trouver la bonne place
    Tu choisis quoi ? Une love story d'première ou d'seconde classe ?

    Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage
    Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages
    Tu t'sens vivant, tu t'sens léger et tu ne vois pas passer l'heure
    T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur

    Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile
    Toi tu dis qu'tu n'y es pour rien et qu'c'est sa faute à elle
    Le ronronnement du train te saoule et chaque viage t'écoeure
    Faut qu'tu t'lèves que tu marches, tu vas t'dégourdir le coeur

    Et le train ralentit c'est d'jà la fin d'ton histoire
    En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare
    Tu dis au r'voir à celle que t'appel'ras désormais ton ex
    Dans son agenda sur ton nom, elle va passer un coup d'tip-ex

    C'est vrai qu'les histoires d'amour c'est comme les voyages en train
    Et quand j'vois tous ces voyageurs parfois j'aim'rais en être un
    Pourquoi tu crois qu'tant d'gens attendent sur le quai d'la gare ?
    Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en r'tard ?

    Pour beaucoup la vie s'résume à essayer d'monter dans l'train
    A connaitre ce qu'est l'amour et s'découvrir plein d'entrain
    Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure
    Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur

    Il est facile de prendre un train, encore faut-il prendre le bon
    Moi chui monté dans deux-trois rames mais c'était pas l'bon wagon
    Car les trains sont capricieux et certains son inaccessibles
    Et je n'crois pas tout l'temps qu'avec la sncf c'est possible

    Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève
    Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves
    Et y ceux qui foncent dans l'premier train sans faire attention
    Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station

    Y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives
    Pour elles c'est trop risqué d's'accrocher à la locomotive
    Et y a les aventuriers qu'enchainent voyage sur voyage
    Dès qu'une histoire est terminée, ils attaquent une autre page

    Moi après mon seul vai voyage j'ai souffert pendant des mois
    On s'est quittés d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi
    Depuis j'traine sur le quai, j'regarde les trains au départ
    Y a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare j'me sens à part

    Y parait qu'les voyages en train finissent mal en général
    Si pour toi c'est l'cas accroche-toi et garde le moral
    Car une chose est certaine y aura toujours un terminus
    Maint'nant tu es prév'nu, la prochaine fois tu prendras l'bus..

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  8. “El deseo no es pues, interior a un sujeto ,
    ni tampoco tiende hacia un objeto:
    es estrictamente inmanente a un plano al que no preexiste. A un plano que es necesario construir,
    Y en el que las partículas se emiten, y los flujos se conjugan . Si no hay desplegamiento de ese campo,
    propagación de tales flujos , emisión de tales partículas, no hay deseo.”

    Gilles Deleuze

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  9. Capitán Zanahoria1 de octubre de 2010, 11:58

    La disparition est un tour de force majeure en littérature. Georges Perec, membre de l'Oulipo, y écrit avec la contrainte suivante: ne pas utiliser la lettre E. Déjà, c'est un défi qui demande la patience et beaucoup de travail. Mais Perec va plus loin encore: il se donne le mandat de constamment parler de ce E à travers les histoires des personnages et une grande partie des détails du roman. Encore plus, Perec écrit, à plusieurs reprises, qu'il écrit sur ce qu'il n'a pas le droit d'écrire. En fait, il ne s'est pas limité à un seul degré métatextuel, mais à deux. C'est surtout en cela que Perec a réussi un tour de force.
    Le livre est truffé d'indices, d'anecdotes, de pistes, de jeux, de citations, de pastiches et d'énigmes qui rendent La disparition si riche que son étude ne peut être qu'exhaustive et incomplète. Il est facile de s'y perdre, surtout si on a à en faire l'analyse. Le roman constitue à la fois une partie de plaisir pour le lecteur qui peut y voir les possibilités de la littérature à contrainte et un défi pour tout chercheur qui vise l'épuisement du texte.

    Citations

    «Il y avait au mur un rayon d'acajou qui supportait vingt-six in-folios. Ou plutôt, il aurait dû y avoir vingt-six in-folios, mais il manquait, toujours, l'in-folio qui offrait (qui aurait dû offrir) sur son dos l'inscription "CINQ". Pourtant, tout avait l'air normal: il n'y avait pas d'indication qui signalât la disparition d'un in-folio (un carton, "a ghost" ainsi qu'on dit à la National Library); il paraissait n'y avoir aucun blanc, aucun trou vacant. Il y avait plus troublant: la disposition du total ignorait (ou pis: masquait, dissimulait) l'omission: il fallait la parcourir jusqu'au bout pour savoir, la soustraction aidant (vingt-cinq dos portant subscription du "UN" au "VINGT-SIX", soit vingt-six moins vingt-cinq font un), qu'il manquait un in-folio; il fallait un long calcul pour voir qu'il s'agissait du "CINQ".»

    «Mais, plus tard, quand nous aurons compris la loi qui guida la composition du discours, nous irons admirant qu'usant d'un corpus aussi amoindri, d'un vocabulariat aussi soumis à la scission, à l'omission, à l'imparfait, la scription ait pu s'accomplir jusqu'au bout.»

    «Puis, à la fin, nous saisirions pourquoi tout fut bâti à partir d'un carcan si dur, d'un canon si tyrannisant. Tout naquit d'un souhait fou, d'un souhait nul: assouvir jusqu'au bout la fascination du cri vain, sortir du parcours rassurant du mot trop subit, trop confiant, trop commun, n'offrir au signifiant qu'un goulot, qu'un boyau, qu'un chas, si aminci, si fin, si aigu qu'on y voit aussitôt sa justification.»

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  10. Perec’s Les Revenentes: the word made flesh
    Même la pensée (la réflexion) ne s’achève en nous que dans l’excès. Que
    signifie la vérité, en dehors de la représentation de l’excès, si nous ne
    voyons ce qui excède la possibilité de voir, ce qu’il est intolérable de voir,
    comme, dans l’extase, il est intolérable de jouir? si nous ne pensons ce qui
    excède la possibilité de penser...?
    [Georges Bataille, Madame Edwarda]

    Bataille, en somme, me touche peu: qu’ai-je à faire avec le rire, la dévotion,
    la poésie, la violence? Qu’ai-je à dire du «sacré», de l’«impossible»?
    [Roland Barthes, Roland Barthes par Roland Barthes].

    The abnormal, then, in terms of excess. But excess, abnormally, in
    terms of form: if, viewed formally or structurally, excess can be
    approximately defined as overflow, the inability to contain X + 1 in the
    space intended for X, then that which we shall now examine is
    excessive in that it constantly breaks through the frame which surrounds
    it, be it conceptual, aesthetic, or material. And yet, as it designates
    itself, it would seem to invite framing, or enclosure. How exactly is this
    invitation worded? It is not, if one restricts oneself to the text of Les
    Revenentes, our focus here.1 And yet it affects the very conception of
    the text, is partly inscribed in the term conception itself; is, indeed,
    present in that which hopes to prevent conception, the condom. What is
    this which is at once prophylactic and fertile? It is contrainte formelle,
    formal constraint, the generic name for the procedure (a descendant of
    Roussel’s procédé) which was resuscitated in modern times by the
    OuLiPo and which consists in the self-imposition of arbitrary rules
    which serve to generate a text. So conceived, or contrived, constraint is
    the seed from which the text grows. In the present case, we are dealing
    with a monovocalism in E or, if one prefers, a lipogram in A, I, O and
    U. That is to say, E is the only vowel.
    Les Revenentes is therefore placed massively under the sign of E, in
    French the letter most closely associated with the feminine. Doubly so

    1 Georges Perec, Les Revenentes (Paris: Julliard, 1972, 1994).

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  11. COLIN BELL
    in that the adjective formelle agrees with the feminine noun contrainte.
    Moreover, the word ‘contrainte’ contains con, a slang expression for
    the female genitals, while ‘formelle’ contains the third person pronoun
    elle. Whence my insistence on the notions of conception and framing,
    both allusively present in the term enceinte, traditionally the telos of the
    feminine: it is through the con that the text comes into being, is made
    pregnant with meaning and, when this reaches its term (becomes
    excessive), through the same place (lieu de passage) that it must in turn
    emerge from the enclosure, the matrix. What is the clôture is also a
    ligne de fuite (as we shall see when we examine the graphic nature of
    the letter Q, the only letter which rivals the primacy of E in Les
    Revenentes). Further down this family tree, ‘pregnant with meaning’
    introduces the paternal seed, the lone semen which is in this case at the
    very least polysemic, and which avoids the question of filiation and
    authority.
    The above to avoid stating simply that we shall be analysing the
    explicitly described orgy scene in Les Revenentes, bastard son of the
    Marquis de Sade. And that, dating from 1972, it also bears the mark of
    Barthes’s Sade, Fourier, Loyola and Derrida’s La Dissémination.2 The
    essays collected in these books were, for the large part, published
    individually from 1968 onwards and so an influence on Les Revenentes
    is eminently possible. Moreover, Perec was influenced from the very
    beginning of his career by Barthes, and was later to refer approvingly to
    Derrida.3 This is therefore a genealogy which we shall have to bear in
    mind when discussing Les Revenentes not simply as a post-Sadean text,
    but as a post-structuralist one (though it is not my intention to
    statistically ‘prove’ any filiation).
    Let us now begin by indicating briefly the intertext with Sade. It
    should initially be pointed out that the orgy in Les Revenentes is inserted
    into the narrative as the culmination of a plot led by the narrator and his
    partners to steal jewellery belonging to a guest of the Bishop of Exeter,
    the idea being that in the general melee it will be easy to surreptitiously
    2 Roland Barthes, Sade, Fourier, Loyola (Paris: Seuil, 1971); Jacques Derrida,
    La Dissémination (Paris: Seuil, 1972).
    3 On the influence of Barthes see Pouvoirs et limites du romancier français
    contemporain in Parcours Perec: Colloque de Londres (Lyon: Presses
    Universitaires de Lyon, 1990), 31–40. For references to Derrida, see Espèces
    d’espaces (Paris: Galilée, 1974), 21.

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  12. PEREC’S LES REVENENTES 129

    appropriate the gems. In this respect, it differs from Sade, whose orgies
    are always their own motivation. However, it soon becomes obvious
    that the narrative and descriptive energy expended on the scene exceeds
    that required by the logic of the intrigue.4
    As regards similarities, Les Revenentes opens with seven limousines
    entering the grounds of the Bishop’s residence. At this point in the
    narrative no comment is made regarding the Bishop’s somewhat
    libidinous nature. However, in retrospect, certain parallels can be
    drawn with the voyage to, and enclosure in, the Château de Silling as
    described in Les 120 journées de Sodome.5 Obviously not quite as
    secluded as Silling, the Bishop’s residence is nonetheless heavily
    fortified and guarded by an elite troop of ‘Feds’. Moreover, it contains
    a church which is irreverently used to house toilets, as in Les 120
    journées. This church, as ‘sæptum’ or enclosure, the etymology of
    transept shows, also provides the closed space necessary for the orgy to
    take place.
    As in Sade, a certain symmetry is observed in the distribution of the
    protagonists. There are twenty-two in all, the twenty-two remaining
    letters of the alphabet, and they can be divided into the following
    groups: the victim of the conspiracy (Bérengère de Brémen-Brévent);
    seven ‘masters’ (the four conspirators, the leader of a rival gang and the
    Bishop and his aide); seven éphèbes or pédés (the rival gang); and
    finally, seven priests. The latter two groups roughly correspond to what
    in Sade are referred to as fouteurs. However, the hierarchy is not as
    strict as in Sade: there are no victims in a Sadean sense for, though
    Bérengère is the victim of a theft, she is a willing participant in the
    orgy, as are the others.
    The above as background. What is of importance here is the
    permutational and combinatorial elements of the orgy, the manner in
    which the aesthetic form takes precedence. Consider the following,
    which is announced before the orgy actually begins (as Barthes says of
    Sade: ‘ce qui se fait a été dit’, the text precedes the action): ‘L’Evêqe

    4 Of one hundred and twenty-five pages of actual text, the two sections depicting
    the orgy occupy fifty-one. That is to say, forty-one percent of the total. The
    actual theft of the jewels is dealt with, as a chute rapide, in one page at the
    close of the novel.
    5 D.A.F. de Sade, Les 120 journées de Sodome (Paris: Union Générale
    d’Editions, 1975).

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  13. en effet est très streect: le clergé, de temps en temps, se permet de
    révéler ses préférences envers des ‘événements’ frenchement débreedés,
    mets l’évêqe hème qe ses fêtes respectent des règles sévères et les
    trensgresser, c’est fréqemment reesqer de se fère relegger’.6 The notion
    of transgression introduced here is singular in that it does not refer to
    the transgression of sexual norms, which are not considered at all, but
    rather to the transgression of the rules which govern the already
    transgressive behaviour. What is unacceptable is not illicit sex but
    unregulated sex.

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